T'as raison, mon Jean-Claude, chaque année, on le sent tout ragaillardi, à la perspective de cette maturité grandissante, on le perçoit tout ébaubi à l'idée de ce passage, on le sait tout frétillant (non mesdames, ce n'est pas nécessairement vulgaire!) à l'approche de cette joyeuse célébration, on l'imagine pleinement épanoui comme un fruit doucement mûri au cœur de l'été mais non, pas trop mûr ... pas avant l'année prochaine, en tout cas