Quand on ne connaît d'Hervé que sa prose "condensée", le plantigrade souriant qui lui sert d'avatar et la démarche de ce même ursidé, à peu près aussi "chaloupée" que celle d'un destroyer, un passage subreptice est difficile à imaginer
Mais c'est vrai que c'est un des absents dont il serait plaisant d'avoir des nouvelles (subrepticement ou en fanfare, laissons-lui le choix des "armes")