Blagues... et jolies paraboles

Calvus

XLDnaute Barbatruc
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonjour,

Vous connaissez celle du nain qui a 10 gosses ??
Elle est très courte mais bonne !
 

daniel1949

XLDnaute Occasionnel
Re : Blagues... et jolies paraboles

L'histoire se passe en Corse

Un tétraplégique entre dans un bar et commande un café. Dans le coin du bar, il remarque un homme lumineux, qui dégage une atmosphère extraordinaire.
Barman, qui est cet homme ? C'est Jésus !
Mon Dieu ! Barman, offrez lui un café de ma part !

Entre un sourd muet
Et pareil... Il remarque l'homme extraordinaire dans le coin de la salle. Barman, qui est ce barbu ? Dit-il en langage des signes qu'évidement le barman parle couramment.
C'est Jésus !
Alors ça ! Barman, servez à Jésus un verre de votre meilleur champagne !

Entre alors un corse qui, comme les autres remarque ce barbu extraordinaire.
Barman, mais qui est cet homme ? C'est Jésus !
Waouh ! Barman servez à Jésus ce qu'il veut, c'est moi qui paye !

Le barman prépare les trois conso et les apporte à Jésus.
Jésus les boit et se lève.

Il se dirige vers l'homme paralysé et lui touche l'épaule.
L'homme, alors, se lève et s'écrit :
Jésus est grand, je marche ! Je marche !!!

Jésus touche ensuite l'épaule du sourd muet..
Je parle ! J'entends ! C'est un miracle !

Jésus s'approche alors du corse.
Le corse fait un grand bond en arrière et s'écrit :
Ne me touche pas ! Je suis en arrêt maladie !!!!!
 

phlaurent55

Nous a quittés en 2020
Repose en paix
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonjour à tous,
Un condamné à mort attend l’heure de l’exécution lorsqu’arrive le prêtre :
- Mon fils, j’apporte la parole de dieu pour toi.
- Vous perdez votre temps, mon père. Dans peu de temps, je vais pouvoir lui parler personnellement. Avez-vous un message pour lui ?
à+
Philippe
 

daniel1949

XLDnaute Occasionnel
Re : Blagues... et jolies paraboles

LES TROIS ERMITES


Sur une île déserte, vivaient jadis trois ermites d'une très grande piété. Ils étaient extrêmement vieux, si vieux qu'aucun d'eux ne pouvait encore se souvenir de son âge. Ils avaient de longues barbes fleuries qui leur descendaient jusqu'à la taille, et des visages aux rides très profondes. Leur arrivée dans l'île remontait à des décennies et des décennies, de sorte qu'ils avaient même oublié tout ce qu'ils avaient appris avant d'y débarquer. jour après jour, ils s'adonnaient à leurs dévotions, qui, à vrai dire, consistaient tout simplement à répéter ceci :
« Vous êtes trois, nous sommes trois - bénissez-nous ! » (1)

C'est avec grande vénération qu'ils disaient cette prière, plusieurs fois par jour, tournés vers l'Orient, têtes baissées. Ils demeuraient debout côte à côte en se tenant par la main. C'est l'aîné qui la récitait le premier, puis le cadet, puis le benjamin :
« Vous êtes trois, nous sommes trois - bénissez-nous ! »

Un jour, l'évêque du diocèse entreprit de rendre visite à l'ensemble des communautés religieuses dont il avait la charge, afin de s'assurer qu'elles adhéraient toutes aux canons de l'Eglise. Et voici qu'il passa tout à proximité de l'île, laquelle lui était complètement inconnue et qui paraissait déserte. Il donna néanmoins ordre d'accoster. Le hasard voulut que nos trois ermites se trouvassent à ce moment-là tout près du rivage. Ils aperçurent la luxueuse embarcation, ainsi que l'évêque dans son bel habit. Et ils s'approchèrent avec révérence et lui baisèrent les pieds. Voyant leurs haillons et leur saleté, l'évêque se recula quelque peu, puis, se reprenant, fit sur chacun un signe de croix. Il leur dit de se relever et se mit à les questionner, voulant savoir d'où ils venaient, depuis combien de temps ils vivaient là et, bien sûr, la nature des austérités qu'ils pratiquaient pour le salut de leur âme. Les trois ermites firent une deuxième révérence, et s'empressèrent d'expliquer qu'ils récitaient seulement une prière, qu'ils n'avaient connaissance d'aucune autre pratique. L'évêque leur demanda alors une démonstration.

Les trois vieillards s'étant exécutés, l'évêque fut interloqué et passablement indigné. La prière qu'il venait d'entendre, hormis qu'elle lui était inconnue, lui paraissait sacrilège. « Mais qu'est-ce que cela ! Qui donc vous a appris à prier ainsi ! »

Les trois ermites étaient, comme on peut imaginer, extrêmement embarrassés, et durent avouer leur complète ignorance.

L'évêque n'en croyait pas ses oreilles. « Si j'ai bien compris, vous ne pratiquez pas la divine liturgie, ni ne récitez les psaumes, ni aucune autre écriture sainte ! » C'est alors qu'il apprit de la bouche des ermites qu'ils étaient illettrés.

« Soit, fit-il, mais tout au moins récitez-vous le « Notre Père » chaque jour ? Il se raccrochait à ce dernier espoir. Mais il dut déchanter très vite. Car il s'entendit répondre par le cadet :

« Le Notre Père ? Connais pas ! Si je l'ai connu un jour, j'avoue qu'aujourd'hui je n'en ai plus aucun souvenir. » Les deux autres se contentèrent de baisser la tête.

« Oh ! mais c'est insensé, vous ignorez jusqu'au « Notre Père », la prière la plus importante de la foi chrétienne ! La pierre d'angle, le fondement même de notre glorieuse religion, que nous a donnée Jésus-Christ en personne. Comment avez-vous fait pour oublier même cela ! »

Le cadet à son tour avait baissé la tête. Tous trois gardaient le silence, tant ils avaient honte.

« Cette situation ne peut certainement pas durer, finit par dire l'évêque. le suis responsable de votre bien-être spirituel. Dieu m'a fait votre berger, et je me dois de vous apprendre tout au moins cette prière essentielle, afin que vos âmes puissent trouver le repos dans l'après-vie. »

Nos trois ermites y consentirent sans tarder, mais la chose n'était pas aussi simple qu'elle paraissait, pour deux raisons : la première est qu'ils étaient malentendants tous les trois, si bien que l'évêque dut répéter les phrases plusieurs fois avant qu'ils les aient comprises. La deuxième est que leur faculté de mémoriser était presque nulle. L'évêque passa une journée entière, de l'aube au crépuscule, à leur faire répéter la prière, phrase après phrase. La première ayant été retenue, il passait à la deuxième. Mais la deuxième ayant été retenue, ils avaient déjà oublié la première. Enfin, après des efforts colossaux, il put constater avec satisfaction que les trois vieillards arrivaient à réciter la prière du début jusqu'à la fin sans le moindre oubli.

Quand il les quitta pour reprendre la mer, le soleil était couché depuis un certain temps déjà, et la lune n'était pas encore dans le ciel. Il faisait nuit noire.

De retour sur le bateau, l'évêque s'assit sur le pont pour prier comme à l'accoutumée. Mais voici qu'après un quart d'heure à peine, il entendit les matelots pousser des cris à l'arrière de l'embarcation. « Excellence », criaient-ils, regardez là-bas ! Il regarda dans la direction indiquée et vit une lumière éclatante s'approcher sur les eaux. Il n'en croyait pas ses yeux ! La lumière en s'approchant grandissait et, arrivée à proximité du bateau, elle fut comme un soleil resplendissant. Quelle ne fut pas la surprise alors de l'évêque de discerner à l'intérieur de ce soleil les trois ermites qui se tenaient par la main.

A la vue de l'évêque, les trois vieillards pieux agitèrent la main en criant, « Ne partez pas, restez encore ! nous avons déjà oublié la prière que vous nous avez apprise ! »


(1) Cette prière des ermites se réfère au mystère de la Sainte Trinité dans le Christianisme.
 

13GIBE59

XLDnaute Accro
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonjour le forum.

Il était une fois . . .
Une asiatique qui venait de se marier à un français qui vivait à Paris.
La pauvre fille ne connaissait malheureusement pas beaucoup de mots en français,
mais réussissait quand même à communiquer avec son mari.
Sa difficulté était de se faire comprendre chez les commerçants...

Un jour, elle se rendit chez le boucher pour acheter des cuisses de poulet.
Ne sachant pas comment le demander, elle leva sa jupe jusqu'à ses cuisses en baragouinant...
Le boucher comprit et la dame retourna chez elle avec des cuisses de poulet.

Le lendemain, elle eut besoin de poitrine de porc.
Encore une fois, ne sachant quoi dire au boucher,
elle dégrafa sa blouse, et montra sa poitrine au boucher en baragouinant ...
Et encore une fois, la dame obtint ce qu'elle désirait.

Le 3eme jour, la dame eut besoin de saucisses.
Elle amena son mari chez le boucher ...
Que va-t-elle faire ?

Réponse à la fin ...


A quoi pensiez-vous, bande de pervers ?
Son mari parle français...

Vous n'écoutez pas ce qu'on vous dit ?
 

13GIBE59

XLDnaute Accro
Re : Blagues... et jolies paraboles

Salut tout le monde.

Une très belle femme frappe à la porte de son voisin et lui dit :
- J'ai une envie folle de m'amuser, de me saouler et de faire l'amour toute la nuit... êtes vous occupé ce soir ?
- Non ! répond le voisin tout heureux
- Alors, vous pouvez garder mon chat ???
 

Brigitte

XLDnaute Barbatruc
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonjour tout le monde,

On m'envoie une petite annonce... si vous connaissez qqun susceptible d'être intéressé :

PETITE ANNONCE.jpg
 

R@chid

XLDnaute Barbatruc
Supporter XLD
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonsoir @ tous,
Un Cousteau qui s'est marié d'une femme chinoise très Ravissante (non très Belle, oups très Charmante :p)
malheureusement elle s'est endommagée dés la nuit de noces...
Amicalement :eek:
 
Dernière édition:

13GIBE59

XLDnaute Accro
Re : Blagues... et jolies paraboles

Salut le forum

La scène se déroule, sur le parking, à côté de la gare de QUIMPER.
Un gars sort du bar en titubant. Un véritable désastre !...
Il lui faut 5 bonnes minutes pour retrouver sa voiture, 5 autres pour trouver la clé, non sans être tombé 2 ou 3 fois par terre.
Au bout du parking, des Gendarmes regardent la scène, médusés.
Il faut encore un bon moment pour que le gars réussisse à faire démarrer le moteur, qui s'éteint tout de suite après.
Pendant ce temps, ses amis sortent du bar, cognent à sa vitre et lui souhaitent bonne nuit.
Ça ne va pas bien pour lui, mais il chante quand même, affalé à sa portière, la fenêtre ouverte !...
Finalement, au bout d'une bonne demi-heure, il réussit à relancer le moteur, et il commence à rouler.
Immédiatement, les Gendarmes allument leur gyrophare, le bloquent avec leur fourgon, et l'interpellent.
Ils lui demandent alors de souffler dans le ballon, et là..., surprise : ZERO ! Rien de rien... Pas une goutte d'alcool ! RIEN !!!
Alors, ils sortent leurs tout nouveaux test de détection de stupéfiant, et la re-surprise RIEN... mais alors... RIEN DU TOUT ! ! ! ???...
"Mais, pourquoi ça vous semblait si difficile de trouver vos clés, de monter dans la voiture et de démarrer alors ???" lui demandent les préposés de la Maréchaussée !
- « Ah, ça... et bien..., c'est que..., ce soir..., c'était mon tour de faire semblant, le temps que tous les autres puissent rentrer chez eux tranquillement !... »
Sacrés Bretons !
 

DoubleZero

XLDnaute Barbatruc
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonjour, le Fil :), le Forum,

Savez-vous comment on appelle "Un tout petit homme" qui... :

1) appartient à une religion : un nain doux
2) n'a pas de nom : un nain porte qui
3) n'est bon à rien : un nain capable
4) qui est mort : un nain fini
5) n'est jamais sûr de lui : un nain décis
6) qui parle trop : un nain discret
7) qui Est humain : un nain parfait
8) a perdu son honneur : un nain digne
9) qui montre ses fesses : un nain pudique
10) qui vient d'ailleurs : un nain porté
11) a des pensées malsaines : un nain pur
12) change souvent d'idée : un nain stable
13) fait pipi partout : un nain continent
14) n'est pas capable : un nain puissant
15) qui a un gourou : un nain secte
16) qui est handicapé : un nain valide
17) celui qui est attendu : un nain vité
18) qui n'attend pas : un nain patient
19) que l'on n'attend plus : un nain prévu
20) qui Est mal élevé : un nain poli
21) Qui est stupide : un nain bécile

Signé : un nain connu...
........................qui ne l'envoie pas à nain porte qui !

attachment.php

A bientôt :):)
 

Pièces jointes

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phlaurent55

Nous a quittés en 2020
Repose en paix
Re : Blagues... et jolies paraboles

Bonjour à tous,
Roland est au bar avec son ami Mathieu.
Il prend son téléphone et appelle sa femme Clémence d'un ton très sec :
- Allo, oui, prépare l'eau chaude, je ne vais pas tarder à rentrer.


Puis il raccroche.

Son ami, admiratif, lui dit :
- Ah toi, t'es un vrai homme !
C'est comme ça qu'il faut parler aux femmes, avec autorité.

Roland répond :
- T'as quand même pas cru que j'allais faire la vaisselle à l'eau froide ?
à+
Philippe
 

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