Le porteur d'eau
En Chine, un porteur d’eau possédait deux grosses cruches, chacune d’elle pendante aux extrémités d’une solide perche qu’il portait sur ses épaules.
L’une des cruches était fêlée, tandis que l’autre était parfaite et livrait toujours une pleine portion d’eau.
À la fin de la longue marche du ruisseau à la maison, la cruche fêlée arrivait toujours à moitié pleine. Tout se passa ainsi, jour après jour, pendant deux années entières où le Porteur livrait seulement une cruche et demi d’eau à sa maison.
Évidemment, la cruche qui était sans faille se montrait très fière de son travail parfaitement accompli. Mais la pauvre cruche fêlée était honteuse de son imperfection, et misérable du fait qu’elle ne pouvait accomplir que la moitié de ce qu’elle était supposé produire.
Après ces 2 années de ce qu’elle percevait comme étant une faillite totale de sa part , un jour, près du ruisseau, elle s’adressa au Porteur d’eau , « J’ai honte de moi-même, et à cause de cette fêlure à mon côté qui laisse fuir l’eau tout au long du parcours lors de notre retour à votre demeure. »
Le Porteur s’adressa à la cruche, « As-tu remarqué qu’il y avait des fleurs seulement que de ton côté du sentier, et non sur le côté de l’autre cruche?
C’est que j’ai toujours été conscient de ta fêlure, et j’ai planté des semences de jolies fleurs seulement de ton côté du sentier, et chaque jour durant notre retour, tu les as arrosées.
Durant ces deux années j’ai pu cueillir ces jolies fleurs pour décorer notre table. Si tu n’avais pas été comme tu l’es, nous n’aurions jamais eu cette beauté qui a égayée notre maison »
L'étoile de mer...
"Alors qu'il marchait à l'aube sur la plage, le vieux vit devant lui un jeune homme qui ramassait des étoiles de mer et les jetait à l'eau.
Il finit par le rejoindre et lui demanda pourquoi il agissait ainsi.
Le jeune homme lui répondit que les étoiles de mer mourraient s'il les laissait là jusqu'au lever du soleil.
« Mais la plage s'étend sur des kilomètres et il y a des millions d'étoiles de mer, répliqua-t-il. Quelle différence cela va-t-il faire ? »
Le jeune homme regarda l'étoile de mer qu'il tenait dans sa main et la lança dans l'écume.
Il répondit : « Cela fera une différence pour celle-ci. »"
Un jeune disciple, assidu et perturbé, est plongé dans la lecture de Confucius lorsqu'il découvre, avec stupeur et perplexité, cette maxime :"De tout l'univers, la femme et la perle sont les deux plus belles merveilles qu'il se puisse concevoir, principalement la perle ".
Aussitôt, le disciple se tourne vers son mentor et lui dit : "Grand maître, veuillez pardonner par avance mon impertinence mais quel est donc le sens profond de cet adage ?"
Le maître : "O, jeune et perturbé disciple, sache donc du plus loin de ton inexpérience que, s'il est vrai qu'autant la femme que la perle se peuvent enfiler, la perle, elle, le peut être par les deux bouts ".
Le jeune disciple fronce les sourcils et ose : "Mais grand maître, veuillez pardonner mon impertinence, et me châtier si je le mérite, mais n'est-il pas vrai que la femme puisse également s'enfiler par les deux bouts ? "
Le maître : "Ah, jeune et indiscipliné que tu es, juste cela est, mais dans ce cas, c'est une perle...!!
Petite histoire de clous
"C'est l'histoire d'un petit garçon qui avait mauvais caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.
Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture. Les semaines qui suivirent, à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture... Il découvrit qu'il était plus facile de contrôler son humeur que d'aller planter des clous derrière la clôture...
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur. Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture. Son père le prit par la main et l'amena à la clôture. Il lui dit : "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. A chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours. Une offense verbale est aussi néfaste qu'une offense physique. Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur coeur."
Bonjour,
Tototititata... c'est énorme, il est fort le DAUTEUILLE, ce que je regrette c'est que ces annonces vont disparaitre quand il aura trouvé preneur...
Il faudrait les pdéifier... (deus, dei... jm, c pas mal non plus tes blagues, dis donc).
Bisous les p'tits gars.
Bonne soiréeAprès avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la limousine, le chauffeur réalise que le Pape reste sur le trottoir.
"Excusez-moi, Votre Sainteté" dit le chauffeur, "Voudriez-vous, je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir?"
"...Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me laisser conduire au Vatican, et j'aimerais beaucoup pouvoir le faire aujourd'hui."
"Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela. Je perdrais mon job! Et que faire s'il arrive quelque chose?" proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce matin-là
"Je ferai quelque chose de spécial pour vous.", dit le Pape.
De mauvaise grâce, le chauffeur passe à l'arrière et le Pape s'installe derrière le volant.
Très vite le chauffeur regrette sa décision, quand après avoir quitté l'aéroport, le souverain pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu'à 170 Km/h .
"Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez!" implore le chauffeur très inquiet.
Mais le Pape continue jusqu'a ce que les sirènes de police retentissent.
"Mon Dieu, je vais perdre mon permis", s'écrie le chauffeur.
Le Pape se range sur le côté et baisse sa vitre quand le policier s'approche.
Mais dès qu'il voit le Pape il retourne à sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu'il a arrêté une limousine roulant à 170.
"Où est le problème? Bouclez-le !" dit le chef.
"Je ne pense pas qu'on puisse faire ça, c'est quelqu'un de très important." dit le policier.
Le chef s'exclame : "Il n'y a pas de raison!"
"Non, je veux dire réellement important", dit le policier.
Le chef demande alors : "Qui avez-vous coincé? Le maire?"
Le policier : "Plus gros. "
Le chef : "Un sénateur?"
Le policier : "Beaucoup PLUS GROS."
Le chef : "Bien! Dites-moi qui c'est!"
Le policier : "Je pense que c'est Dieu lui-même!"
Le chef : "Vous vous foutez de ma gueule????
Qu 'est-ce qui vous fait croire que c'est Dieu?????"
"Il a le Pape comme chauffeur...!"