Deux blondes rebelles et fauchées décident de braquer une banque.
Pamela, la plus expérimentée, explique son plan en détail a Betty, la novice.
Le jour même, les deux blondes se retrouvent dans leur voiture, devant la banque, avec le moteur qui tourne.
Pamela dit a sa comparse :
- Betty, je veux être sure que tu as bien compris le plan, parce que je ne serai pas dans la banque avec toi pour te dire ce que tu dois faire : tu ne dois pas rester plus de trois minutes dans la banque. C'est d'accord ?
- J'ai parfaitement compris, répond Betty.
Betty entre alors dans la banque, pendant que Pamela attend au volant de la voiture.
Une minute passe... deux minutes... Dix minutes, et toujours pas de Betty en vue.
Finalement, au bout de quinze minutes, Betty arrive, traînant laborieusement derrière elle un coffre-fort entoure de plusieurs tours de corde.
Après quelques secondes au bout desquelles les deux filles parviennent, tant bien que mal, a placer le coffre-fort à l'arrière de la voiture, le vigile de la banque fait irruption hors de l'établissement, avec bien du mal cependant, car il a le pantalon et le caleçon baissés sur ses chevilles.
Au moment ou il est enfin prêt a faire feu sur les deux blondes, leur voiture est déjà loin !
Au volant, Pamela s'énerve :
- T'es vraiment une blonde, toi ! Je pensais que tu avais compris le plan !
- Mais... Bien sur que oui, j'ai compris ton plan. J'ai fait exactement ce que tu m'as dit !
- Pas du tout, espèce d'idiote ! J'avais dit l'INVERSE : Pompe le FRIC et ligote le GARDE...!!!!
Ce fermier des Vosges reçoit la visite inopinée d'un contrôleur des impôts, car il apparaîtrait qu'il ne paie pas son personnel correctement !
L'inspecteur : "J'aimerais voir la liste de vos salariés ainsi que leurs fiches de paye ! "
- "Bien sûr", dit le fermier, qui l'entraine dans la pièce qui lui sert de bureau et pose devant lui un petit classeur :
- "D'abord il y a le garçon de ferme : il travaille 35h par semaine et je le paie 1 200 Euros par mois plus le logement et le couvert".
- "Ensuite il y a la cuisinière : elle travaille 30h par semaine et je lui donne 1100 euros par mois plus logement et couvert".
- "Enfin, il y a le Simplet"...
- "Le simplet "? dit le contrôleur d'un air interrogateur.
- "Oui, il travaille 18 heures par jour c'est à dire 126h par semaine, il accomplit 80% de tous les travaux de la ferme. Je lui donne 200 Euros par mois, mais il paie sa nourriture et son logement. Le samedi soir je lui achète une bouteille de whisky et à l'occasion, il dort avec ma femme ! "
- "Ahhh", dit l'inspecteur en se frottant les mains, c'est LUI que je veux voir !
- "Il est en face de vous monsieur le contrôleur", dit le fermier,"c'est moi...
Ribéry reçoit son avis d’imposition…
Il est très surpris de voir que ses impôts ont augmenté alors
qu’'il a déclaré la même somme que l’’année précédente.
Furieux, il se rend au centre des impôts, pour faire une réclamation.
- Monsieur le percepteur, dit-il, je ne comprends pas la hausse de
mes impôts.
J'’ai déclaré le même revenu que l’'an dernier, et j’'ai une
augmentation de mes impôts.
Ce n'’est pas possible !!!
- Si Monsieur, dit le percepteur, le PLAFOND de la Sécurité sociale a été rehaussé.
- Et alors ? C'’est à moi de payer les travaux… ???
Deux prostituées discutent entre elles. La première demande à l'autre :
- Tu as demandé quoi, toi, au Père Noël ?
- Ben, 100 euros, comme à tout le monde.
Un cheval invite son copain âne à prendre l'apéro. Chez lui, l'âne remarque une photo accrochée au mur, représentant un cheval. Il demande :
-C'est qui ce cheval ?
Son copain, un peu fanfaron, lui répond :
-Ah, mais c'est moi, à l'époque où j'étais cheval de course. Là, je viens de gagner le Grand Prix d'Amérique.
Quelques jours plus tard, l'âne rend son invitation à son copain cheval. Auparavant, il a chiné à la brocante la photo d'un zèbre, qu'il a accrochée au mur.
Le cheval lui demande :
-Qui c'est lui ?
-Ah ça, c'est moi. Je t'avais pas dit que j'avais joué à la Juventus de Turin ?
Deux fous se promènent au bord d'un lac. Soudain, un des deux fous se jette à l'eau. L'autre se dit : mais il est fou ! et se jette
à son tour à l'eau et sauve son collègue d'une noyade certaine.
Quelques temps plus tard, le directeur de l'asile psychiatrique convoque le sauveteur et lui dit :
- J'ai une bonne et une mauvaise nouvelles pour vous.
la bonne, c'est que le fait que vous ayez sauvé votre camarade prouve que vous n'êtes plus fou. C'est pourquoi vous êtes dorénavant libre. Vous n'habiterez plus dans notre asile.
La mauvaise, c'est que votre camarade, que vous avez sauvé, s'est pendu.
- Ah oui ! Je suis au courant. Il ne s'est pas pendu, c'est moi qui l'ai mis à sécher...