oguruma
XLDnaute Occasionnel
Quelques exemples qui démontrent la puissance des fonctions LAMBDA et LET. Pour une grande majorité de celles présentes dans le fichier Excel joint nous aurions eu recourt à du VBA. LAMBDA accompagnée de la fonction LET nous évite cela. Nous pouvons créer des sous-fonctions qui font office de sous-programme comme on le ferait en VBA.
Les exemples développés permettre d'illustrer la conception de formules universelles sur RECHERCHEX, INDEX, EQUIV.
Ces fonctions tiennent compte soit d'un tableau structuré passé en référence soit d'un range.
Les fonctions sur INDEX et EQUIV tiennent compte du type de colonne soit numérique soit alpha (nom de la colonne).
Ces fonctions embarquent également une gestion de message d'erreurs personnalisés qu'il est possible aussi de récupérer via une table des messages via bien oui un RechercheX.
Ces fonctions personnalisées débutent toutes par le symbole "µ" qui ne risque pas d'entrer en concurrence avec vos nom de champs classiques.
Bien entendu, nous pouvons aller encore plus loin, ce n'est qu'un début.
Il y a de nombreux exemples qui montrent la progression dans la construction de ces fonctions personnalisées.
Je vous invite à explorer toutes les colonnes d'exemple afin de voir les différentes syntaxes possibles de ces fonctions "µ".
Pour celles sur RechercheX on ne sait même pas ou presque que l'on fait du rechercheX.
L'avantage, elle est multi-utilisable. En effet il peut être "casse-pieds" de préciser à chaque fois le nom de la table, le nom du champ comme ceci : TABLE[CHAMP] et cela à chaque fois que l'on s'adresse à un tableau. Donc autant passer table;champ en paramètre et de laisser la fonction µLambda se charger de construire la bonne syntaxe automatique de la fonction RechercheX. Ainsi on passe table;colonne de recherche;colonne de résultat. Bien entendu cette transposition passe par la fonction INDIRECT où il faut concatener Table&"["&champ&"]"... ce qui était aussi pénible de le recoder à chaque fois avant que la fonction LAMBDA arrive "dans les bacs".
Dans un prochain POST suivront d'autres fonctions personnelles via un LAMBDA toujours aussi magique, en particulier sur ce que j'appelle les "dates remarquables" alias les identités remarquables sur lesquelles nous avons bien transpiré en classe de 3ème et seconde.
Les exemples développés permettre d'illustrer la conception de formules universelles sur RECHERCHEX, INDEX, EQUIV.
Ces fonctions tiennent compte soit d'un tableau structuré passé en référence soit d'un range.
Les fonctions sur INDEX et EQUIV tiennent compte du type de colonne soit numérique soit alpha (nom de la colonne).
Ces fonctions embarquent également une gestion de message d'erreurs personnalisés qu'il est possible aussi de récupérer via une table des messages via bien oui un RechercheX.
Ces fonctions personnalisées débutent toutes par le symbole "µ" qui ne risque pas d'entrer en concurrence avec vos nom de champs classiques.
Bien entendu, nous pouvons aller encore plus loin, ce n'est qu'un début.
Il y a de nombreux exemples qui montrent la progression dans la construction de ces fonctions personnalisées.
Je vous invite à explorer toutes les colonnes d'exemple afin de voir les différentes syntaxes possibles de ces fonctions "µ".
Pour celles sur RechercheX on ne sait même pas ou presque que l'on fait du rechercheX.
L'avantage, elle est multi-utilisable. En effet il peut être "casse-pieds" de préciser à chaque fois le nom de la table, le nom du champ comme ceci : TABLE[CHAMP] et cela à chaque fois que l'on s'adresse à un tableau. Donc autant passer table;champ en paramètre et de laisser la fonction µLambda se charger de construire la bonne syntaxe automatique de la fonction RechercheX. Ainsi on passe table;colonne de recherche;colonne de résultat. Bien entendu cette transposition passe par la fonction INDIRECT où il faut concatener Table&"["&champ&"]"... ce qui était aussi pénible de le recoder à chaque fois avant que la fonction LAMBDA arrive "dans les bacs".
Dans un prochain POST suivront d'autres fonctions personnelles via un LAMBDA toujours aussi magique, en particulier sur ce que j'appelle les "dates remarquables" alias les identités remarquables sur lesquelles nous avons bien transpiré en classe de 3ème et seconde.