J'ai commencé par détester cette musique lancinante et répétitive mais l'insistance d'un ami, qui se baladait avec le vinyle sous le bras partout où il allait, m'a fait changé d'avis. Puis, je l'ai vu en concert et là c'est devenu irréversible ... 17 minutes avec des larmes de tristesse et de sang... Un moment rare avec Fela Anikulapo Kuti et son Nigéria.
Je ne vois plus Pierre Vassiliu à la terrasse du café à Sète. Ça m'inquiète... Mais, continuons le voyage (imprévu...), toujours en Afrique, à Banjul...
Puisque vous êtes parti dans les seventies
Laissez-moi vous présenter le plus grand guitariste de ces superbes années (musicalement parlant).
David Gilmour ne le lui arrive pas à la cheville !
Et en plus il chante si bien!
Et des paroles si profondes que votre cœur est touché au plus profond !
Quand je pense que de piètres artistes britanniques ont osé le plagier avec une version et des paroles totalement ineptes!
Quel gâchis !
Serais-tu hermétique à mon humour ?
C'était bien évidemment une antiphrase de ma part
Retour à la zik des seventies
Montez le volume and enjoy <|•••|> (J'ai réglé le morceau sur le début mon passage préféré, mais si vous avez 33 minutes devant vous, écoutez le en entier )
@ Staple, je n'ai jamais acheté cet album mais maintes fois entendu chez les copains comme "in a gadda da vida".
La pochette était subversive. Cela me rappelle l'expression " Don't Bogart", aujourd'hui bien désuète.