Dernière chose : les ceusss (que je ne citerai pas), qui proffitent lachement de mon absence pour engendrer de la progéniture... Je tenais à leur exprimer mon profond ressentiment mais, n'étant pas rancunier pour deux sous (tu penses, deux cent ans après et j'ai déjà oublié...) je me permets de féliciter la Maman et le Papa pour cet heureux événement et faire de gros cheiros au bébé (au Brésil on n'embrasse pas un nouveau né, on le sens, on le hume, on le cheira et c'est divinement bon...)