à+Suite à une crise cardiaque, un homme subit une chirurgie à cœur ouvert.
ll se réveille après l'opération et se trouve soigné par des religieuses dans un hôpital catholique.
Comme il retrouvait ses esprits, une religieuse lui demande comment il allait payer ses soins.
Elle lui demande s'il a une assurance maladie.
Il répond d'une petite voix encore faible:
"pas d'assurance maladie"
Elle lui demande:
"Avez-vous de l'argent à la banque"
Il répond:
"Pas d'argent à la banque".
Elle poursuit:
"Avez-vous un membre de votre famille qui peut vous aider"?
Il dit :
"je n’ai qu'une sœur, vieille-fille, qui est religieuse dans un couvent".
La sœur se fâche et lui dit:
"Les religieuses ne sont pas des vieilles-filles, elles sont mariées à Dieu"!!
Et le patient de lui répondre:
"Alors envoyez la facture à mon beau frère"
à+Une présentatrice du journal télévisé, le lendemain d'un jour où il aurait dû neiger mais où cela ne fut pas le cas, s'est retournée vers le Monsieur météo pour lui demander :
" Alors, Laurent, où sont les 20 centimètres que vous m'avez promis hier soir ? "
Non seulement, le monsieur météo a dû quitter le studio, mais également la moitié de l'équipe télévisée qui était écroulée de rire..
Deux blondes stagiaires dans une petite société maritime ont pour tâche de mesurer la hauteur d'un mât.
Elles sortent et se rendent au mât avec les échelles et les rubans à mesurer.
Tour à tour, elles tombent de l'échelle ou laissent tomber le ruban à mesurer.
Un ingénieur passe par là et voit ce qu'elles essaient de faire.
D'un geste moqueur il tire le mât hors de terre, le met à plat, le mesure de bout
à bout et, enfin, donne la mesure à l’une des blondes avant de s’en aller.
Après le départ de l’ingénieur, l’une des stagiaires se tourne vers l'autre et dit en riant :
- Ça c'est bien un ingénieur. Nous cherchons la hauteur et il nous donne la longueur ! Quel abruti !................
Un parisien visite la campagne et cherche à acheter une ferme. Il est sur le point de conclure une bonne affaire avec le paysan propriétaire, lorsqu'il aperçoit au fond du champ quatre ruches !
Il demande alors au paysan de supprimer ces ruches, car il craint que les abeilles ne piquent ses enfants.
Le paysan lui répond :
- Oh, mais mes abeilles n'ont jamais piqué personne ! D'ailleurs, je vous fais un pari. Je vous attache nu à un arbre pendant une heure, et si jamais une de mes abeilles vous pique, je vous offre la ferme.
- D'accord, répond le parisien qui se dit qu'une heure est vite passée, et que le jeu en vaut la chandelle.
Une heure plus tard, le paysan revient pour détacher le parisien. Il le découvre dans un état de grande fébrilité, complètement anéanti et tremblotant.
- Que s'est-il passé, demande le paysan. Mes abeilles vous ont piqué ?
- Non, répond le parisien. Les abeilles, ça va. Mais le veau, là, ça fait longtemps qu'il n'a pas vu sa mère ?
à+François Hollande rencontre en secret Nicolas Sarkozy.
Il lui demande :
"Comment avez-vous fait pour vous entourer de gens intelligents ?
Sarkozy lui répond : "C'est très simple. Je les tiens constamment en alerte..... Je leur fais passer régulièrement des petits tests, pour être bien sûr que leur intelligence reste vive.
Hollande est stupéfait : Ah oui ? Comment faites-vous cela ?
Sarko s'empare du téléphone. Il dit à Hollande : "C'est très simple, je vais appeler Fillon".
- «Bonjour François » !
- Bonjour Nicolas !
- François, j'ai un petit test d'intelligence pour toi : "C'est l'enfant de ta mère et de ton père, mais ce n'est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ?
-Fillon répond : C'est moi !
Sarko lui dit : Bravo, c'est juste ! Merci François, à la prochaine.
Il raccroche.
Hollande est impressionné. De retour à son domicile, il décide de mettre en pratique la technique de Sarkozy.
Il téléphone à Ayrault : «Bonjour Jean-Marc », c'est François ! J'ai un petit test d'intelligence pour toi.
Ayrault : O.K. Vas-y.
Hollande: C'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ?
Ayrault : Oh ! Attends un petit peu. Je n'étais pas préparé à cette question. Je note.
Laisse-moi quelques minutes pour réfléchir. Je te rappelle. D'accord ?
Hollande : "Pas de problème!"
Ayrault s'empresse alors d'appeler Montebourg : « Bonjour Arnaud », c'est Jean-Marc.
Je ne sais pas ce qui lui prend, mais François vient de me faire passer un test. Veux-tu bien m'aider ?
Montebourg : Pas de problème, énonce-moi la question.
Ayrault : C'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ?
Montebourg : "C'est moi"
Ayrault : Aaah, ok, merci Arnaud !
Puis il s'empresse de rappeler Hollande.
François, tu peux me reposer ton énigme ?
Hollande : Ok. C'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est ni ton frère, ni ta sœur. Qui est-ce ?
Ayrault : « C'est Arnaud Montebourg »
Hollande : Perdu ! C'est Fillon…
Le directeur d’un asile de fous, sur le départ, reçoit son successeur. Il lui explique son boulot, la disposition des lieux, etc…Il finit par lui dire :
- Aujourd’hui, c’est mardi, c’est le jour où tous les fous se rassemblent dans la cour et se racontent des blagues. Mais comme ils sont fous, ils ne les racontent pas vraiment, mais annoncent juste un numéro. D’ailleurs, viens voir.
Dans la cour, des dizaines de fous sont rassemblés. Le directeur désigne un fou :
- Vas-y, raconte une blague !
- Numéro 17, dit le fou.
Les autres fous éclatent de rire.
- Toi, une autre !
- Numéro 44, répond le fou.
Les fous sont morts de rire.
- A toi, une autre blague !
- Numéro 32.
La salle reste muette. Le nouveau directeur demande :
- Mais pourquoi ils ne rient pas ?
- Ah mais, lui, il la raconte mal…Mais essaie, toi de leur en raconter une.
Le nouveau dirlo se lance :
- Numéro 89 !
Les fous se roulent de rire par terre, se tapent sur le ventre, s’esclaffent à en pleurer.
Le nouveau directeur demande :
- Mais qu’est-ce qui leur arrive ?
- Celle-là, il la connaissaient pas.
Un pauvre petit bonhomme est dans un bar depuis une demi-heure.
Il contemple tristement son verre de bière en soupirant.
Tout à coup, un costaud en blouson de cuir, entre dans le bar, voit le petit homme, lui donne une grande claque dans le dos en riant et lui boit sa bière.
Le petit bonhomme triste se met à pleurer à chaudes larmes.
- "Eh, oh attends !" lui dit le costaud, "désolé. Ce n'était qu'une plaisanterie, je te paye une autre bière, je ne voulais pas te faire pleurer!"
- "Non , non, laissez !" dit le petit homme. "Je pleure parce que cette journée a été la plus terrible de ma vie :
Ce matin, ma voiture tombe en panne, j'arrive en retard au travail, mon patron m'annonce qu'il me renvoie.
Quand je rentre à la maison, j'annonce ça à ma femme, qui me quitte en emmenant mes deux enfants.
A peine parti, le four, dans lequel ma femme faisait cuire un rôti, explose, et la maison brule.
En sortant pour appeler les pompiers, je me fais renverser par une voiture. Le temps d'arriver à l'hôpital, ma maison était détruite...
A la fin,n'en pouvant plus, je viens dans ce bar et voilà qu'un connard qui se croit rigolo, boit mon verre dans lequel j'avais mis du poison pour mettre fin à mes jours !!!"
à+Lorsque Dieu créa le monde, il décida de concéder deux vertus aux hommes de chaque peuple afin qu'ils prospèrent.
Par exemple il rendit :
-Les suisses précis et pacifistes,
-Les anglais flegmatiques et ironiques
-Les japonais travailleurs et réalistes
-Les italiens joyeux et humanistes
Quant aux français, il dit :
- Les français seront intelligents, honnêtes et socialistes.
Lorsque le monde fut achevé, l'ange qui avait été chargé de la distribution des vertus demanda à Dieu :
- Seigneur, tu as dit que tu octroyais deux vertus à chaque peuple, mais les français en ont trois. Est-ce pour cela qu'ils se placent au dessus des autres ?
En vérité, je te le dis, chaque peuple a deux vertus y compris les français, car chacun d'entre eux ne pourra en posséder que deux à la fois. Ce qui veut dire que :
- Si un français est socialiste et honnête, il ne sera pas intelligent,
- S'il est socialiste et intelligent, il ne sera pas honnête,
- S'il est intelligent et honnête, il ne peut pas être socialiste…. !