C’est Raymond qui décide d’aller à la chasse. Il va dans la forêt, se tapit derrière un arbre, avise un ourson, hésite un instant, mais tant pis, pan ! le tue d’un coup de fusil.
Immédiatement, il sent une patte sur son épaule, il se tourne, un énorme ours brun lui fait face :
- Tu as tué mon fils, alors tu as le choix : ou nous avons une sex party torride, toi et moi, ou je te déchiquète à coups de griffes.
Raymond choisit la vie…, et après un mois de rééducation…, il décide de se venger.
Il va dans la forêt, se tapit derrière un arbre, avise l’ours brun avec qui il a connu ses premiers émois zoophobes (ou zoophiles, seule une psychanalyse poussée le déterminera), et pan !, le tue d’un coup de fusil.
Immédiatement, il sent une patte sur son épaule, il se tourne, un immense grizzly lui fait face :
- Tu as tué mon copain, alors tu as le choix : ou nous avons une séance d’amour fou, ou je te massacre à coups de pattes.
Raymond choisit la vie…, et après deux mois de remise en forme…, il décide de se venger.
Il va dans la forêt, se tapit derrière un arbre, avise le grizzly qui lui a permis d’élargir son point de vue sur la libido des ursidés, et pan ! le tue d’un coup de fusil.
Immédiatement, il sent une patte sur son épaule, il se tourne, un gigantesque ours blanc (si, si ! on en trouve dans la forêt) lui fait face :
- Avoue le, Raymond, tu viens pas ici vraiment que pour la chasse…